Rebecca est, à priori, une artiste américaine.
En bref, dans le Connecticut, Catherine se plaint à sa voisine de sa vie sans surprise et surtout sans sexe. Sa bonne amie lui prépare une surprise pour la dérider ou lui faire découvrir un nouveau monde. Elle est délaissée par son mari et bien sa copine-voisine va la transformer en soumise lesbienne.
Le titre évoque forcément les Desperate Housewives de la série. Mais ici, pas de drame de couple qui se sépare, on découvre la vie fantasmée de ces épouses le jour pendant que leur mari niais travaille.
Avec un ton débridé, Rebecca livre la version lesbienne uniquement de la série. Certes, on reste dans le cliché lesbien pour hommes. Mais c’est frais et drôle.
Sans avoir un style révolutionnaire, Rebecca suit la ligne de contemporains classiques efficace et léger.
Degenerate Housewives est, au final, une belle surprise sans prétentions, du divertissement pour adultes.
– A partir d’aujourd’hui, tu vas me faire le plaisir de jouir aussi par ce trou-là, compris?
(Version lue DYNAMITE Editions Collection Petits Pétards)