Luca Tarlazzi est un dessinateur italien aux intérêts divers dont le tatouage.
En bref, Marco et Serena forment un couple libre. Le scénario et le crayon de Tarlazzi s’attardent sur la belle blonde.
Et Serena est la blonde telle qu’on imagine la femme volcanique, celle qui, sur un clin d’oeil, un toucher, une simple situation, se transforme en garce totale. On pense à la joie de son compagnon Marco, nettement plus plat, juste queutard à la coupe improbable.
Donc s’enchainent des scènes d’exhibition, de sexe libre et décomplexé, plans à trois, etc. C’est gratos, Serena est ouverte, tout le monde peut entrer. Et elle en redemande, la coquine.
Concernant le dessin, il y a un je ne sais quoi qui rappelle Liberatore (Ranx), sûrement les couleurs. Certaines case avec Serena sont assez puissantes, ses poses sont plus que suggestives. Tout lecteur la gardera en tête, surtout que son anatomie nous est entièrement dévoilé sans pudeur.
Il faut prendre « Sex In Italy » pour ce que c’est, une bonne récréation, quasi décérébrée avec le côté lecture à une main. Pour une stimulation plus cérébrale, on ira voir ailleurs.
– Votre pommade est efficace, mais sitôt qu’on m’encule ca recommence. A votre avis, suis je trop étroite?
(Version lue DYNAMITE Editions)
(Les pages disponibles ici sont extraites d’une édition précédente, la traduction a été refaite entre autres)
[…] Bien que peu de pages soient très peu explicites sexuellement parlant, le dessin et l’ambiance rendent un climat très sexué. Le rendu des corps et les couleurs rappellent Sex In Italy. […]
[…] Nous avons déjà parlé de Tarlazzi pour « Sex In Italy 1. » […]